D'abord, j'ai trouvé ce roman agaçant et puis j'ai adoré.
Si je puis me permettre de commencer avec une critique, il y a dans ce roman un abus stylistique de la première personne du singulier. Le roman aurait gagné à ce que l'auteur s'oblige plus à modifier ses phrases pour supprimer des "je".
Cela dit, l'histoire est très intéressante.
D'abord d'un point de vue humain, il s'agit d'un homme autour de qui tout s'écroule (boulot, couple) et qui se reconstruit peu à peu. On comprend qu'il souffre, et c'est touchant. D'un autre côté, il ne pleurniche pas, il est plutôt ironique avec lui-même.
Par ailleurs, ce roman nous fait rentrer dans la vie d'un éditeur parisien, même si ce 'nest pas son objectif premier et ça c'est pas mal du tout : on décopuvre (en tout cas j'ai découvert) la superficialité des chose, par ex le livre de la mère de Houellebecq, ça a fait un tabac dans les journaux, on ne a parlé, du coup l'éditeur a demandé que soit publié plus de livres et au final, ils ne se sont pas vendus. Les journaux ont profité du "coup" médiatique, mais pas le roman. J'ai trouvé cette anecdote très intéressante.
bref, j'ai beaucoup aimé ce livre.
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